20111120

La mort préfère les pauvres

Maladies chez les pauvres
Les pays pauvres sont souvent la cible des catastrophes de tous les genres, en plus de ne pas avoir les moyens d'y faire face seuls et efficacement. En Afrique, la lutte contre les maladies semble inefficace. Le sida y est la principale cause de mortalité et quand la tuberculose attaque en même temps, les symptômes sont démultipliés. Pour nuire aux recherches, les virus sont de plus en plus résistants aux traitements.
Certaines mesures de prévention on toutefois apportées des progrès, comme la distribution de moustiquaires. Malgré le développement de traitements comme des vaccins, le temps nécessaire à la production serait très long et ils pourraient devenir inefficace. Il ne faut pas oublier qu'une baisse des soins causerait une hausse du niveau de mortalité car beaucoup des gens malades survient grâce aux traitements. Ces gens peuvent mourir des simples maladies comme la rougeole par manque de soins. Ce sont d'ailleurs les jeunes mères et les enfants des pays pauvres qui sont le plus sensibles aux maladies.

Les États <<fragiles>>

Plus la couleur est pâle plus le pays est pauvre.

Pour des raisons financières et politiques, les habitants des pays pauvres se retrouvent constamment à risque de conflits. Surtout dans les bidonvilles géants où la criminalité et le manque d'encadrement laisse la population sans aide. Ces gens subissent donc constamment des pressions. Alors que certaines de ces régions font parties des principaux producteurs de pétrole, ce qui rapporte de grands revenus, leurs habitants sont les plus pauvres de la terre.

Freins au
développement
La pauvreté dans une communauté crée un véritable cercle vicieux. La crise économique mondiale de 2008 est un des pires moments pour les pays pauvres. Si les gens vivent avec moins d'argent que d'habitude et qu'il y a une catastrophe naturelle qui s'ajoute cette crise financière, les conséquences seront frappantes pour les plus démunis. Une catastrophe naturelle peu faire augmenter les prix de la nourriture, du pétrole et de l'énergie ce qui forces les gens a ce priver deux fois plus. Par exemple, le réchauffement climatique empire les conditions de vie des endroits désertiques où l'eau est déjà rare provoquant des conflits.

Agir
Certaines actions favorables pour contrer la pauvreté sont tout simplement disparues avec le temps comme l'envoi d'argent de la part des diaspora à leurs communautés d'origine. Ces contributions financières en moins coupent directement dans l'éducation, la santé, le développement, etc. Tout cela fini par augmenter la pauvreté des pays et le taux de mortalité. L'avenir des personnes pauvres est incertain, ils deviendront peut-être encore plus nombreux en ajoutant l'Asie et l'Amérique Latine aux communautés vivant sous le seuil de la pauvreté, car les ONG pourraient disparaître. Ou bien l'instauration d'un gouvernement mondiale prônant la solidarité concernant l'égalité économique et le développement durable, comme le FMI et la banque mondiale l'ont proposé.

 
GARNIER, Donatien (2010). <<La mort préfère les pauvres>>, L'état du monde 2011, La Découverte/Boréal, p.221-225.

20111110

Analyse des mesures d'urgence et de la réaction des gouvernements

Lors de la catastrophe, les habitants n'étaient aucunement préparés car il n'existait pas de définition précise d'un volcan et la mémoire collective trop courte limitait la transmission des phénomènes passés. C'est pour ces raisons qu'il n'y a pas eu de plan d'évacuation d'urgence ou l'aide de spécialistes.

La seule personne a avoir tenté quelque chose est Pline L'Ancien, le premier scientifique a avoir décrit une éruption volcanique. Alors qu'il était avec sa famille, sa femme lui fit remarquer un nuage noir anormal. C'est alors qu'il décida d'aller secourir des amis proches en passant par la mer, car c'était le seul endroit accessible, à l'aide d'un ou plusieurs bateaux (source non fiable). Arrivé à la côte Ouest du Vésuve (près d'Herculanum), il fut incapable d'accoster à cause de la quantité impressionnante de pierre ponce qui flottaient sur l'eau.



Nuée ardente, nuage de cendre, etc.


Il décida donc de se rendre a Stabiae (qui est un peu plus éloigné que Pompéi qui était déjà enseveli) pour accoster. À son arrivée, il réussi à débarquer parce qu'il n'y avait qu'une légère pluie de cendres qui n'inquiétait pas la population. Mais c'est durant la nuit qu'il y eu une grande accumulation de cendres et de pierre ponce, qui commençaient a barrée les portes. Il y eu de nombreux séismes et les habitants se protégeaient de leur mieux, certains se couvraient la tête d'oreillers contre les pierre ponce, car leurs maisons étaient rendues trop dangereuses. Ce n'ait qu'au matin que le Vésuve c'est violemment manifester et les gens ce sont retrouvés dans l'incapacité de fuir car les vents soufflaient vers la côte empêchant de prendre la mer.


 
Pline L'Ancien a noté que les séismes avaient causés des tsunami tellement ils étaient violents. Il est finalement mort à cause de ces difficulté à respirer l'air plein de cendre et aucuns documents précisent si des gens ont étés sauvés. Son neveu, Pline LeJeune a également fait le récit des événements mais à une certaine distances hors danger.